Marianne Steyn
≈ arrivée en ville : 04/11/2016
≈ messages : 64
book of my life disponibilité: (2/4) free, diego & isaac. contacts:
| Sujet: love's a game, want to play? (w/isaac) Lun 16 Jan - 19:39 | |
| - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - i can read you like a magazine
C'était un matin comme les autres, cela ne signalait rien de bon. Il y avait toujours des rebondissements dans la vie de Marianne. Elle était surprise chaque jour, elle était surprise de voir à quel point le destin pouvait lui jouer des tours. Elle était assise dans le petit café du coin, tasse à la main. Elle regardait le café tourné doucement et qui se mélangeait à la blancheur du lait. Elle ne faisait plus attention à ce qu'il se passait autour d'elle, elle était dans ses pensées, dans ses plus profondes pensées. Elle ne pensait pas à sa liste de course, elle ne pensait pas au fait qu'elle avait oublié de nourir ses chats ce matin, elle ne pensait pas aux nombreuses personnes qui devaient se demander ce que cette rouquine pouvait bien fabriquer à regarder sa tasse. Non, elle pensait simplement à l'instant présent, à ce petit moment de bonheur, à la chaleur du liquide qui réchauffe son coeur. Elle releva instinctivement le regard bien qu'elle aurait du ne jamais le relever. Silhouette d'homme, plutôt grand, charmeur à l'horizon. Il ne lui était guère inconnu ce bellâtre. Il avait connu son prénom par pur hasard et pourtant elle aurait bien voulu ne jamais le connaitre. Tout le monde sait que la rouquine déteste les coureurs de jupons et bien cet homme là en était un. Elle mentirai si il n'était pas l'exception à la règle, à sa propre règle. Il est dangereux d'être sincère, à moins d'être également stupide. Il avait un charme fou et pourtant elle s'obstinait à se torturer l'esprit. Elle aurait bien pu marquer sur son visage anti-messieurs, mais on l'aurait bien pris pour une idiote à moins que cela soit déjà fait.. Elle essaya d'éviter son regard malgré que c'était déjà trop tard. Comme-ci elle était sa proie, il s'approcha et sans gêne se posa à la chaise devant elle. - Tiens tiens, revoilà monsieur le tombeur. Tu veux que je te cuises comment aujourd'hui, petit poulet? Je pense que l'estragon ira à merveille avec ton teint. - Marianne dans son propre monde, l'imagination n'a jamais de limite. |
|