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La vie est faite de choix : Oui ou non. Continuer ou abandonner. Se relever ou rester à terre. Certains choix comptent plus que d’autres : aimer ou haïr. Être un héros ou un lâche. Se battre ou se rendre. Vivre ou mourir. Je vais le répéter une dernière fois, pour ceux qui en douteraient encore... La vie est faite de choix. Vivre ou mourir, le choix le plus important, mais la décision nous appartient rarement. Les choix, nous y sommes constamment confrontés. Dois-je lui dire combien je l’aime ? Est-ce que je dois leur dire que je pars étudier dans un autre pays ? Chaque jour, nous nous posons des questions afin de savoir si nous prenons les bonnes décisions. Nous poussons des soupirs en repensant à tout ce que nous avons accompli, et nous nous demandons si ça en valait vraiment la peine. Mais il ne faut pas oublier que chaque décision que nous prenons, nous l’avons voulue. Car nous sommes les seuls maîtres de notre destin.

Ici, même dans les pires moments de tragédie, la vie ne semble jamais s’éteindre. La Grosse Pomme grouille sans cesse d’une activité débordante. Enfantée par la multitude de cultures qui s’y croisent et se mélangent, elle est à l’image de ceux qu’elle accueille, diverse, sublime et parfois terrifiante. Les employés de la ville oeuvrent tous les jours pour la rendre plus belle et plus grande, pour effacer l’horreur et tenter de porter aux nues la beauté de cette ville aux mille facettes.

Mais il n’y a rien de plus dur que de ramasser les dommages de ceux qui gangrènent cette cité. Pompiers, flics et secouristes se frottent jour après jour à la difficile réalité, celle que tous les autres arrivent à omettre en fermant les yeux assez fort pour se dire que ce n’est que la réalité des autres, pas la leur. Le 11 Septembre est déjà loin et si les attentats ont laissé des stigmates encore à vif dans le cœur et l’esprit de beaucoup d’américains, la vie et la futilité ont repris leurs droits à New York City.

De ce que la ville fait de pire, certains ont su en tirer profit, jouissant d’une certaine impunité et du manque d’envie de tout un pan de la société qui préfère son petit confort à l’intérêt du plus grand nombre. Seulement une poignée de bons samaritains a à cœur de faire de New York une ville plus sûre et plus grande.

Et vous, quel côté allez-vous choisir ? Celui des aveugles volontaires ? Des héros en uniformes ? Des profiteurs ? Des criminels aux dents longues ?

Sachez seulement qu’ici, c’est assez vaste pour accueillir tout le monde. La grosse pomme ne fait pas de discrimination, elle accueille tout le monde en son sein, comme une mère nourricière heureuse de susciter le bien et de nourrir le mal.

La famille.. la famille, c'est sans aucun doute la chose la plus importante dans la vie. Lorsqu'on fait partie d'une famille, on peut compter les uns sur les autres.. C'est très important d'être présent pour les personnes qu'on aime. Malheureusement on a pas tous la chance de faire partie d'une famille ou bien d'être entouré de personnes digne de ce nom! Une chose est sûr, à Los Angeles, les choses ne sont pas bien différentes! Et oui entre les séparations, les divorces, les nouvelles histoires ainsi que les familles recomposées. On ne sait plus où donner de la tête! Malheureusement on ne choisit pas sa famille, mais on peut choisir ses amis, les personnes qui nous entourent.

Bienvenue à Émoria... petite ville pittoresque avec sa mairie, son starbucks et même son église. Petite ville comme on en trouve certainement pleins dans les États Unis. A une différence près... Approchez vous et n'ayez pas peur. Ne tenez pas compte du murmure inquiétant du vent dans les arbres qui semble fredonner votre nom. Avancez sans crainte dans les rues de la ville. N'écoutez pas le sang battre à vos oreilles. Ce n'est rien. Juste un souvenir d'une ancienne vie qui s'effacera rapidement. Approchez vous de la personne se tenant face à vous, vous attendant au milieu de rue. Ne frissonnez pas en la voyant. Elle est là pour vous aider et vous guider dans votre nouvelle vie. Car vous êtes mort et Émoria sera votre dernière demeure...

Akureyri est une petite ville islandaise dans laquelle il fait bon vivre. Avec son port maritime, ses 18 000 habitants et ses faibles températures, elle a tout de l'endroit idéal où mener une existence apaisée. Oui, Akureyri est une ville agréable, et l'un de ses 18 000 habitants est le tueur.

La vie n'est pas un long fleuve tranquille. Celui-ci est plutôt parsemé de récifs, il s’entrechoque contre des rochers et finit par se jeter du haut d'une cascade, droit vers l'inconnu. Mais certains se complaisent dans une routine, dans des désirs qui ne sont pas les leurs, ayant trop peur de sortir des sentiers battus. D'autres estiment qu'il est tout simplement trop tard pour changer de vie, l'âge les ayant rattrapé et appréhendant de ne plus être dans un confort qui est devenu synonyme de sécurité. Le regard des autres, l'avis des proches. Une décision qui finit par ne plus être la nôtre. Et on arrive à un point où on subit notre vie plutôt que de la vivre. Les plus courageux sont ceux qui savent prendre en main leur propre destiné. Oser divorcer après vingt ans de mariage, se reconvertir dans une carrière d'acteur, se lancer dans l'adoption d'un enfant ou perdre dix kilos. Toutes ces décisions qui font que notre vie prend un autre tournant, trajet direct vers une nouvelle aventure. Il n'est jamais trop tard pour construire notre vie.

C'est au bord du lac Michigan que les familles Hiddleston, O'connor et Williams, il y a de cela cinq siècles, choisirent d'y construire leur petite ville : Marple Spring. Petite bourgade tranquille loin du stress et des soucis de la grande ville, située au nord des États-Unis d'Amérique, à quelques kilomètres à peine de la grande ville de Detroit. Les familles fondatrices ont voulu créer une ville à leur image : simple, joyeuse, où tout le monde se connaît et s'apprécie; du moins essaie, car on ne peut pas apprécier la présence de tout le monde dans sa vie. C'est d'ailleurs le cas rien qu'en regardant de plus près les relations entre les familles fondatrices de la ville. Certains se vouent une haine sans précédent, d'autre s'aiment ou ont un lien très fort, d'autres se nient tout simplement. Les trois familles sont encore présentes en ville et dirigent encore cette dernière. Les Williams ayant décidé de s'éloigner, laissant le patriarche dans sa grande maison refont surface et les O'connor ont un peu perdu le contrôle de la ville, laissant la vedette aux Hiddleston. Cela dit, tous essaient de garder le même esprit que leurs ancêtres autrefois, ils ne veulent que du bien à cette petite ville paisible du nord de l'Amérique. Évidemment comme toutes autres petites villes, il se passe parfois des choses plus ou moins sympathiques, c'est la vie; mais quand on interroge les habitants, la plupart ne partiraient pour rien au monde de cette bourgade fleurie, certes un peu vieillotte, mais tellement charmante et s'ils en sont partis, ils finissent toujours par y revenir. Même après cinq siècles où les générations se sont succédées, Marple Spring sert encore de référence comme petite ville typique et chaleureuse par excellence de l'Amérique du nord.

rpg city sur la ville de Chicago

Salut, moi c'est Britt. Vous venez d'arriver dans le coin donc, il est urgent de vous faire un petit récapitulatif de ce qui se passe dans notre cher Saint Augustine. Les gens sont agréables là-bas. C'est surement dû au fait qu'il fait souvent beau et chaud dans cette ville et, que le travail ne stresse personne en général. Vous y trouverez de tout d'ailleurs : des gothiques, des beau goss, des skateurs, des intellos et même des petits chanteurs à la noix.D'ailleurs, Saint Augustine a sa propre université. C'est l'une des meilleures de toute la Floride apparement. Et, comme je vous ai parlé de chanteur tout à l'heure, la plupart sont des étudiants de cette université. Il y a trois chorales : les Lombadas qui sont vraiment les meilleurs de toute la Floride. Bon, ils se la pètent un peu mais, il faut avouer qu'ils sont bons. Il y a les Durancels qui sont pas mal également et, il y a les Garizos qui est une toute nouvelle chorale donc, on ne sait pas s'ils sont bons. En tout cas, c'est vraiment la guerre entre les trois chorales parce qu'avec toutes ses compétitions, il faut qu'ils prouvent qu'ils sont les meilleurs. En tout cas, je leur souhaite bonne chance!